Étangs
La plaine hyéroise, était jadis constellée d'étangs, grands ou petits. Le nom de l'aéroport du Palyvestre est une déformation coquette de Paluestre, mot tiré du palu(d) qui désigne un marais. Hors des pistes, le terrain n'y est pas entièrement asséché. Ailleurs, plusieurs étangs persistent :
- Étang des Pesquiers, en grande partie aménagé en marais salant dont l'exploitation est abandonnée depuis 1995 ;
- Étang des Pesquiers, en grande partie aménagé en marais salant dont l'exploitation est abandonnée depuis 1995 ;
- Étang des Estagnets ;
- Étang du Rodon (ou Redon) ;
- Étang des Vieux Salins.
Les étangs hébergent une faune et une flore adaptées aux zones humides saumâtres.
- Étang du Rodon (ou Redon) ;
- Étang des Vieux Salins.
Les étangs hébergent une faune et une flore adaptées aux zones humides saumâtres.

Les flamants convertissent en couleur rose les pigments de carotène contenus dans leur nourriture.
Quand les Flamants prennent leur envol, dans une formation en V superbe, ils ne ramènent pas les trains d'atterrissage. Contrairement à la plupart des oiseaux les longues pattes restent dans le prolongement du corps qu'elles équilibrent.
Le Flamant rose côtoie de nombreux oiseaux, migrateurs ou nicheurs :
Hérons cendrés, Aigrettes, Échasses, Avocettes, Bécasseaux, Chevaliers, Cormorans, Tadornes, Mouettes, Sternes… et bien entendu, Goélands leucophée, devenus abondants par suite de leur adaptation à se nourrir sur les décharges.
Et aussi une cinquantaine d'espèces de passereaux et de rapaces.
Cette liste n'est pas exhaustive.

Avocette élégante. Chevalier guignette.
(Cliquer sur les images pour zoomer)
Dans les eaux saumâtres des étangs la flore est pauvre.
Des algues vertes prolifèrent en été.
Une plante à fleurs parvient à s'y développer, la Ruppelle (Ruppia maritima).